Quand tu te mets à attendre le prochain attentat, là c’est grave.
Nous en arrivons au point où les crimes deviennent banalisés et quotidiens.
Je tiens simplement à préciser qu’un homme qui en tue un autre se fait énormément de tord et de peine à lui-même.
Si lui survit à son crime, je doute que son cœur y parvienne.
J’y crois. Je crois que l’homme a une tendance naturelle vers le bien et le besoin d’autrui. J’ai espoir, même si parfois l’espoir est un vice. Tout acte contre notre nature se retourne contre nous. Le monde est un engrenage minutieux et équilibré, celui qui se défait de ses devoirs et droits crée un déséquilibre autour de lui. Mais avant tout sur lui-même.